Autosuffisance

Pourquoi je tient a l'idée d'auto suffisance...

Nous avons ici le choix entre deux orientations. Je risque de m'emporter au cours de mon message, alors je précise de suite qu'aucun de ses choix ne remet en cause ma participation... Nous avons le choix entre déposer des caisses plus ou moins bien faites au fond de l'océan et faire en sorte que se soit habitable, voire même confortable. On peut exiger que ses habitacles soient écolo, durables, propres utiles et tout le reste, Cela restera un défi technique. Une ville comme une autre mais au fond de l'océan...
On peut aussi proposer un vrai ailleurs. Un endroit ou la vie ne ressemble a rien a ce discours de Franklin:

"Souviens-toi que le temps, c'est de l'argent. Celui qui, pouvant gagner dix shillings par jour en travaillant, se promène ou reste dans sa chambre à paresser la moitié du temps, bien que ses plaisirs, que sa paresse, ne lui coûtent que six pence, celui-là ne doit pas se borner à compter cette seule dépense. Il a dépensé en outre, jeté plutôt, cinq autres shillings.

Souviens-toi que le crédit, c'est de l'argent. Si quelqu'un laisse son argent entre mes mains alors qu'il lui est dû, il me fait présent de l'intérêt ou encore de tout ce que je puis faire de son argent pendant ce temps. Ce qui peut s'élever à un montant considérable si je jouis de beaucoup de crédit et que j'en fasse bon usage.

Souviens-toi que l'argent est, par nature, générateur et prolifique. L'argent engendre l'argent, ses rejetons peuvent en engendrer davantage, et ainsi de suite. Cinq shillings qui travaillent en font six, puis se transforment en sept shillings trois pence, etc., jusqu'à devenir cent livres sterling. Plus il y a de shillings, plus grand est le produit chaque fois, si bien que le profit croît de plus en plus vite. Celui qui tue une truie, en anéantit la descendance jusqu'à la millième génération. Celui qui assassine (sic) une pièce de cinq shillings, détruit tout ce qu'elle aurait pu produire : des monceaux de livres sterling.

Souviens-toi du dicton : le bon payeur est le maître de la bourse d'autrui. Celui qui est connu pour payer ponctuellement et exactement à la date promise, peut à tout moment et en toutes circonstances se procurer l'argent que ses amis ont épargné. Ce qui est parfois d'une grande utilité. Après l'assiduité au travail et la frugalité, rien ne contribue autant à la progression d'un jeune homme dans le monde que la ponctualité et l'équité dans ses affaires. Par conséquent, il ne faut pas conserver de l'argent emprunté une heure de plus que le temps convenu; à la moindre déception, la bourse de ton ami te sera fermée pour toujours.

Il faut prendre garde que les actions les plus insignifiantes peuvent influer sur le crédit d'une personne. Le bruit de ton marteau à 5 heures du matin ou à 8 heures du soir, s'il parvient à ses oreilles, rendra ton créancier accommodant six mois de plus; mais s'il te voit jouer au billard, ou bien s'il entend ta voix dans une taverne alors que tu devrais être au travail, cela l'incitera à te réclamer son argent dès le lendemain; il l'exigera d'un coup, avant même que tu l'aies à ta disposition pour le lui rendre. Cela prouvera, en outre, que tu te souviens de tes dettes; tu apparaîtras comme un homme scrupuleux et honnête, ce qui augmentera encore ton crédit.

Garde-toi de penser que tout ce que tu possèdes t'appartient et de vivre selon cette pensée. C'est une erreur où tombent beaucoup de gens qui ont du crédit. Pour t'en préserver tiens un compte exact de tes dépenses et de tes revenus. Si tu te donnes la peine de tout noter en détail, cela aura un bon résultat : tu découvriras combien des dépenses merveilleusement petites et insignifiantes s'enflent jusqu'à faire de grosses sommes, tu t'apercevras alors de ce qui aurait pu être épargné, de ce qui pourra l'être sans grand inconvénient à l'avenir [...].

Pour six livres sterling par an, tu pourras avoir l'usage de cent livres, pourvu que tu sois un homme dont la sagesse et l'honnêteté sont connues.

Celui qui dépense inutilement chaque jour une pièce de quatre pence, dépense inutilement plus de six livres sterling par an, soit le prix auquel revient l'utilisation de cent livres.

Celui qui gaspille inutilement chaque jour la valeur de quatre pence de son temps, gaspille jour après jour le privilège d'utiliser cent livres sterling. Celui qui perd inutilement pour cinq shillings de son temps, perd cinq shillings; il pourrait tout aussi bien jeter cinq shillings dans la mer.

Celui qui perd cinq shillings, perd non seulement cette somme, mais aussi tout ce qu'il aurait pu gagner en l'utilisant dans les affaires, ce qui constituera une somme d'argent considérable, au fur et à mesure que l'homme jeune prendra de l'âge."

Ou a cette citation de Kürnberger: « Ils font du suif avec le bétail, de l'argent avec les hommes. »

Ces citations sont surannées? peut-être... regardons le monde d'aujourd'hui... Nous vivons dans un pays ou 10% des gens cherchent un travail... Et l'on défiscalise les heures suplémentaires... travaillez plus pour gagner plus, cela réduira le travail disponible pour les autres. On a d'un coté des employés qui se suicident car la pression est trop forte, et d'un autre des gens qui cherchent désepérément du travail. (Modération)

En europe 7% du PIB (et par une extension approximative 7% des emplois) dépend du GPS... cela signifie que si, pour une raison ou pour une autre le système GPS défaillait définitivement, nous aurions de gros problèmes...

Mais prenons actualité récente... une actualité ou les couts qu'exigent la sécurité sont trop élevés pour en valoir la peine... et ou les centrales nucléaires menacent la sécurité nationale du japon mais également la sécurité internationale... car contrairement a ce que l'on nous dit, les nuages ne s’arrêtent pas aux frontières... seul les hommes doivent le faire...

Nous vivons dans un monde ou trois clics dans une agence de notation a des milliers de kilomètres d’Athènes plongent le pays dans un cycle infernal...

Nous vivons dans un monde ou la possession d'un terrain bien placé rapporte plus que le travail de toute une vie, ou le ration profits/salaires ne cesse d'augmenter, ou les crises se succèdent... est-ce vraiment ce monde que nous voulons importer sous l'eau? pensez deux minutes a la catastrophe que se serait si un de ceux en charge de la sécuritée décidait que 4cm c'était trop cher et qu'il faudrait bien faire avec 3...

Vous voulez une logique d’apothicaire? les surcouts d’approvisionnement par sous-marin sont trops élevés pour permettre des exportations compétitives. Les importations sont de facto taxées de frais de transports exorbitants... reste ce qui voyage tout seul: les capitaux? voulez vous donc déclancher un séïsme économique dans une ville dont la survie dépend de la bonne marche de touts ses systèmes de sécurité? a coups sur, le FMI vous dira: "c'est de votre faute, il fallait privatiser le recyclage du CO2". Voulez vous réellement importer un systeme dont la complexitée requiert des bac plus 5 pour en avoir un apperçus? on demande deux choses a l'economie: un travail pour tous et du pain pour chacun... pas de la croissance, pas des bourses en hausse, pas des multinationales énormes. Juste du travail et du pain.

Le rapport avec l'auto suffisance? Cela nous permet de créer un ailleurs, un endroit ou ceux qui veulent échapper a la pression du système sur leur vies peuvent venir se réfugier, un endroit que l'on ne fait pas que coloniser pour le geste ou le symbole, mais un endroit ou c'est l’humanité qui pourra avancer, essayer de changer les choses... Un projet pilote d'une autre société...

On me dit que se sont les marchands qui font voyager les influances artistiques et philosophiques? Les marchands d'aujourd'hui vivent dans des porte-contener de plusieurs dizaines de mètres de long et de large, des énormes pavés sans grâce ne s'arrètant que le temps de décharger des contener standardisés et d'en charger d'autres... quelques heures... deux jours parfois... voir même trois... Nous vivons a une époque ou nous sommes plus proches de l’Asie ou de l’Amérique que jamais, et cela ne fait pas voyager des influences... cela uniformise. Combien de milliards de gens on regardé les funérailles de je-ne-sait-plus-quelle-star-de-la-musique? Le monde multicolore avec ses différentes cultures d'autrefois disparait, peut-être est-ce tant mieux peut être tant pis, mais pour pouvoir en juger il faut une comparaison, une alternative. Et ce que je vous propose c'est de bâtir cette alternative.
Cela exige d'être indépendant, cela n'exige pas de ne plus avoir de liens.
Cela exige d'être autonomes et imperméables aux capitaux... pas aux peuples.
L'inverse du modèle actuel ou l'argent circule librement entre les états unis et le Mexique et ou les hommes se noient en essayant de suivre le produit de leur travail.

merci de m'avoir lu jusqu'ici.

Bonsoir Leamas

... euh... comment dire ?

....déjà, je suis ravi de voir que de te reposer t'as fait le plus grand bien... si... si.. j'insiste...j'en suis ravi...

... ensuite...

... je t'avouerai que je t'ai un peu perdu sur la fin... Ton message qui tient plus d'une...."réflexion politico-philosopho-humeurale" n'est pas denué d'intérêt mais aurait plutôt fait bonne figure sur ta page personnelle....

(voilà ça c'est dit...oufff")

... je vois également que quand tu te lâches tu te lâches... c'est bien d'affirmer et d'assumer ses valeurs ainsi que de développer un regard critique sur le monde qui nous entoure...

... par contre ce que je ne comprends pas bien... c'est ce que tu souhaites rajouter précisement à ton concept d'autosuffisance et ce qui te déplait...

croit tu rééllement qu'il nous serait possible de vivre en autarcie ?

Puisque tu parles d'indépendance et d'imperméabilité aux capitaux mais pas aux peuples

cela impliquerait t'il que chaque personne qui viendrait à Kelonya y amènerait nécessairement toute sa famille et ses amis... ainsi que la famille...de la famille... de la famille... de ses amis... afin que personne n'ait envie de venir sur Kelonya avec des biens personnels ou bien d'en repartir pour voir l'un de ses proches, retrouver ses biens matériels, immatériels et immobiliers sur terre...?

... qui dit imperméabilité aux capitaux... signifie donc aucun échange économique ou commerciaux non ?

tu penses très sincèrement qu'on pourra tout fabriquer sous la mer, tout ce que tu peux connaitre comme confort personnel et matériel sur terre, tout ce qui est ouverture culturelle (livres, cinéma...), tout ce qui est matière première, produits finis et semi finis...

tu penses très sincèrement que Kelonya aura les moyens de survivre si elle ne développe pas d'activité commerciales du type alimentaire, piscicole, aquacole, chimiques au tout autre activité qui lui permettrait de rentabiliser ses investissements pour à nouveau investir dans son développement en achetant sur terre les ressources nécessaires pour péreniser son existence ?

... je comprends ta position par rapport au discours de Franklin... je n'en débattrai pas car les aspects et réflexions politiques ne font pas partie de mes centres d'intérêts prioritaires...

... si tu t'inquiètes de l'aspect travail... ma position est que chacun au sein de la Cité aura un rôle ou une activité qui contribueront à l'intérêt général. D'ailleurs je considère aussi que les formations et les enseignements qui y seront dispensés seront également définis en priorité en fonction des spécialités et/ou des métiers nécessaires au bon fonctionnement de kelonya.

... si tu t'inquiètes d'éventuels comptes d'apothicaires qui se feraient au détriment de la sécurité ou de toute autre considération non objective ni tangible...alors tu peux être rassuré... je ne rentrerai pas dans ces considérations.

Lorsque nous serons amenés à faire des choix de ce type, nous les ferons ensemble...car nous faisons tous partie de la même équipe et nous sommes tous dans le même bateau...

... De plus je pense que sans aller dans l'extrême que prône Franklin ou dans l'autre extrême du rejet total que tu revendiques.... on pourra trouver un juste milieu qui sera de toute façon différent des modèles sociétaux que nous connaissons...

jecohusor a écrit:

... par contre ce que je ne comprends pas bien... c'est ce que tu souhaites rajouter précisement à ton concept d'autosuffisance et ce qui te déplait...

En fait, je ne souhaite pas rajouter qqch au principe de l'autosuffisance en soi... pour moi, il s'agit d'un moyen pour autre chose. Je pense que tout le monde est d'accord pour dire que l'auto-suffisance n'est pas une fin en soi...
alors pourquoi l'autosuffisance?
pour pouvoir proposer autre chose. Pas forcément mieux, pas forcément pire mais différent. Si des échanges matériels se font avec la surface, cela nécessite d'avoir une monnaie d'échange... donc de plier notre gestion monétaire aux règles actuelles. Une integration dans le systeme actuel nous force a obéir a ses critères... de par notre position, nous sommes des protectionnistes +++. Nous ne bénéficions donc pas des intérêts du libre échange... mais nous aurons la chance, que dis-je le privilège universellement partagé d'avoir les inconvénients de la libre circulation des capitaux... génial, je signe ou pour ma crise régulière? et pour le rognage des mesures de sécurité? pff c'est vraiment bète, il faut tout de même 120 000E pour acheter un député kelonyen... quelle plaie! les européens se vendent pour 100 000E et on plus de pouvoir...

De manière pragmatique, les échanges ne peuvent se faire qu'a notre désavantage... Admetons qu'une poire vaille deux pommes dans l'absolu. Il existe deux types de pays, ceux qui achètent des poires et produisent des pommes... et ceux qui font le contraire. Les pays étant extremement bien reliés, les couts de transports sont relativement négligeables... chez les pays producteurs de pomme, la poire vaudra 2.1 pommes, et chez les pays producteurs de poire, une poire vaudra 1.9 pommes.

nous implantons une ville sous l'eau. Nous produisons des pommes. Le transport par sous marin est très couteux... Lorsque nous vendons des pommes, nous recevons 10 poires pour 19 pommes remontées... sauf que pour faire remonter 19 pommes, il ne nous en coutera pas deux comme la coutume le veux, mais 6. la poire vaudra donc 2.5 pommes... génial, nous avons perdu de l'argent!

jecohusor a écrit:

croit tu rééllement qu'il nous serait possible de vivre en autarcie ?

Puisque tu parles d'indépendance et d'imperméabilité aux capitaux mais pas aux peuples

oui... comme expliqué au dessus, on risque fort de n'avoir pas le choix... mieux vaut anticiper...

jecohusor a écrit:

cela impliquerait t'il que chaque personne qui viendrait à Kelonya y amènerait nécessairement toute sa famille et ses amis... ainsi que la famille...de la famille... de la famille... de ses amis... afin que personne n'ait envie de venir sur Kelonya avec des biens personnels ou bien d'en repartir pour voir l'un de ses proches, retrouver ses biens matériels, immatériels et immobiliers sur terre...?

... qui dit imperméabilité aux capitaux... signifie donc aucun échange économique ou commerciaux non ?

gnhein??? j'ai dit qu'il fallait bruler ces titres de possession sur terre? on a bien sur le droit d'avoir des possessions sur terre, a mon avi...quoique cela ne serve a rien puisseque l'argent gagné via ces terrains devra rester en surface... Quand a ne pas venir avec des biens personnels... faut pas abuser... je croit qu'entre le contener et la valise, voir les cartons de déménagement, il n'y a aucune commune mesure...
Si ils estiment que la vie serait meilleure a la surface, les gens restent libres d'y aller, et d'en revenir si ils changent d'avis...

jecohusor a écrit:

tu penses très sincèrement qu'on pourra tout fabriquer sous la mer, tout ce que tu peux connaitre comme confort personnel et matériel sur terre, tout ce qui est ouverture culturelle (livres, cinéma...), tout ce qui est matière première, produits finis et semi finis...

Pour ce qui est livres et cinéma,... j'avoue ne pas y avoir encore réfléchit... ma réflexion en live:
le cinéma peut être entendu comme un miroir de la société? si oui, gaderait-il son interet dans une sociétée radicalement différente? peu d’œuvres cinématographiques semblent en effet faire abstraction du contexte et, du fait de la présence d’images semblent dépendantes de repères partagés par le spectateur. Par exemple, dans un livre, une voiture évoque... ce qui ressemble le plus a une voiture dans l'esprit du lecteur, et l'on peu parier que deux lecteurs pris a hasard devant dessiner le véhicule le ferait de manière très différente... En revanche le film fixe l’imaginaire, impose le cadre. Par contre interdire la circulation de biens culturels, même si leur intérêt est limité... bof...

OK: tu marque un point pour la culture... même si je pense que les droits d'auteurs doivent êtres modifiée (non a la loi mickey! un exemple des dommages créés par les lobby sur la culture...)

Pour " tout ce qui est matière première, produits finis et semi finis..." oui, sans problèmes...

je viens d'avoir une idée

L'importation de films/livres nécessite la possession de $ (ou autre). Nous pouvons nous occuper du retraitement de dechets: on a de la marge pour les nôtres (de déchets), on obtient des matières premières pour s'étendre et/ou réparer l'irréparable et l' non recyclable (qui ne devrait être que le fruit d'une erreur de manipulation pas d'un projet a courte vue...)

jecohusor a écrit:

tu penses très sincèrement que Kelonya aura les moyens de survivre si elle ne développe pas d'activité commerciales du type alimentaire, piscicole, aquacole, chimiques au tout autre activité qui lui permettrait de rentabiliser ses investissements pour à nouveau investir dans son développement en achetant sur terre les ressources nécessaires pour péreniser son existence ?

toutes ses activités doivent être développées... mais pas dans une optique d’activité d'exportation. Nous ne pourrons pas exporter de manière compétitive des produits qui peuvent être fait en surface... a moins que ses produits soient immateriels (logiciels? brevets?)... Mais la se posent des questions éthiques sur les brevets... se qui précisément n'est pas le sujet. Les activités sont sensées êtres développées pour satisfaire les besoins de la population, et doivent être potentiellement légèrement excédentaires. Eu égard a la taille de la ville, un certain JIT (modéré bien sur) me semble être la meilleure methode possible (tu voit, je suis même tolérant vis a vis de certaines pratiques de l'economie moderne... ne jamais jeter le bébé avec l'eau du bain)

jecohusor a écrit:

... cependant je pense que sans aller dans l'extrême [que Franklin] prône et l'autre extrême du rejet total que tu revendiques.... on pourra trouver un juste milieu qui sera de toute façon différent des modèles sociétaux que nous connaissons...non ?

j'avoue ne pas comprendre...
On ne peut pas être a moitié entièrement obsédé par le gain (qui ici est motivé par des raisons religieuses... il s'agit d'un sermon!)
On ne peut pas décider de considérer a moitié que le temps passé pour soi est de la folie car non consacré a l'argent.

Le rejet total que je "revendique" ne concerne que moi... je ne serait pas du tout étonné si vous considériez certaines choses qui me semblent absurdes comme normales, et que par conséquent vous souhaitiez les importer sous l'eau... je me contenterait de faire éventuellement entendre ma différence, et même si il n'est pas impossible que je semble un peu "extreme" quand je m'exprime, c'est que c'est l'expression de mes convictions, et que je ne les exprime pas fréquement (je n'ai donc pas l'habitude des mots qui vont bien...).

bonne soirée...

PS: je crains que tu ne m’aie pris pour un gauchiste (en même temps, a la relecture de mon texte, et au vu des thématiques abordées, se se comprend)... tu est a la moitié de la vérité... je ne suis pas anti-religieux (moyen comme preuve...)... par ailleurs des gens de mon lycée (qui organisaient le blocus du lycée... soit presque 1%, une écrasante majorité!) me prennent pour un facho parce que j'ai cassé leur barrière quotidie (bon il est vrai que bien que je n'ai pas eu a montré les poings... j'ai peut-être été un poil violent...)... bof aussi... mais sa suffira

je n'avais pas vu le message de modération... désolé... il me faut plus d'une heure pour sortir mes textes...

@Leamas

Citation :

je n'ai donc pas l'habitude des mots qui vont bien...

Tu t'en sors très bien, ton message est passé et a été parfaitement compris.

Citation :

Le rejet total que je "revendique" ne concerne que moi

Tu as à tout à fait raison de défendre tes idées... et ce d'autant plus que tu le fais en n'essayant pas d'imposer ta vision des choses aux autres et surtout en acceptant le fait qu'ils pourraient avoir une opinion divergente de la tienne.

Citation :

je me contenterait de faire éventuellement entendre ma différence

Ton humilité t'honore...

... pour le côté dans ton propos tu viens de mettre en application au moins les principes 11-13-15-16-17 du CH

Bonne soirée à toi aussi,

Jeco